CAMPS DE TORTURE ET OTAGES - OÙ SONT LES PAYS 'DÉMOCRATIQUES'

     Déja dix-huit mois que le génocide en Palestine se poursuit et toujours la Suisse et autres pays de l’occident se rendent complices.
     Qui plus est, la CICAD (association principale de défense contre l’anti-sémitisme en Suisse) choisi de dénoncer les mouvements pro-palestiniens et anti-fascistes, plutôt que les rassemblement d’extrême-droite explicitement anti-sémite.
     Ceci démontre que tout le support pour l’Israël n’est pas un support pour les juifs eux-mêmes, mais fais parti d’une politique impérialiste et raciste dont le but est de rabattre toute résistance aux projet néo-coloniale d’apartheid Sioniste.
     En effet, bien que la nation d’Israël existe au sein du Moyen-Orient, elle est traitée comme si elle n’en fait pas partie, son existence un paradoxe qui ne se justifie que par le fait qu’elle n’est pas sensée faire partie de la même communauté que les autres peuples qui vivent autour d’elle.
     Pour poursuivre et renforcer cette appartée, les Israëliens multiplies les crimes contre l’humanité, comme démontre le rapport de B’Tselem ‘Welcome to Hell’ (‘Bienvenu en Enfer’ en anglais’), utilisants des camps de torture si meurtrier qu’ils sont dénoncés en tant que véritable ‘zones de mort’ où se font pratiqués enfermement d’otages nus dans des petites cages, battages, tortures, viols, attaques avec des chiens, buvage d’eau de toilette forcé et privation de sommeil et soins.
     Au moins soixante-trois prisonniers, dont l’un agé de pas plus que dix-sept ans, ont pus être confirmés mourirs sous la torture et maltraitance. Il a aussi été confirmé que l’état d’Israël garde les cadavres en otages pour les négotiations et que le prélèvement forcé d’organe est pratiqué sur des otages qui sont au moins un millions à toujours être détenus sans procès, ni chef d’accusation.
     Le support continu que la Suisse et autres pays donnent à l’Israël constitue un accessoire aux crimes contre l’humanité perpétrés et doivent cesser au plus vite.
     Les demandes des mouvements pro-palestiniens sont simples. Les pays dit ‘démocratiques’ doivent montrer qu’ils sont véritablement du coté de la démocratie en rompant leurs lien avec l’Israël et mettre un embargo sur tout les exports d’armes envers l’état d’Israël, demander la libération de tous les otages retenus dans les prisons et camps de torture Israëliens et la fin de l’impunité d’Israël, qui doit être traduit en justice ainsi que ses dirigeant et jugé coupable pour crimes contre l’humanité et génocide.
     Jusqu’à ce que ceci soit fait, les manifestations continueront et toutes formes de répressions ne feront qu’aider la montée de l’extrême-droite anti-sémite qui déjà prends avantages de la politique répressive pour justifier les répressions des autres droits démocratiques.
     Le Sionisme est ainsi un ennemi des juifs et non un allié. On entends déjà parler de comment la répression des juifs anti-sioniste est pratiqué et comment ils sont traités de ‘juifs qui détestent les leurs’.
     Mais la question est qui détestent les juifs véritablement ?
     Ceux qui appellent à la liberté et vie pour tous, ou ceux qui supportent une politique qui les ostracises et supporte un mouvement qui font d’eux une cible.
     Quelque soit le cas, même si la répression continue et même si les états pensent pouvoir sévir en toute impunité. Personne n’oubliera le génocide, ni les vies perdues pendant ou la complicité des états.
     Tant que cette mémoire vivra la lutte continuera.